-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal

Partagez

A - CONTEXTE

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

P N J ★

Directeur Adjoint
∴ ∵ ∴ ∵ ∴ ∵ ∴
Directeur Adjoint

Messages : 73
Âge : 84
Nom complet : Directeur Adjoint
Année scolaire : J'ai terminé depuis longtemps
Doublettes : Personne


Carte d'identitée
Statut Rp: CLOSE
Chambre et colocataire: Nobody
Relations:

A - CONTEXTE Empty
MessageSujet: A - CONTEXTE A - CONTEXTE Icon_minitimeVen 29 Aoû - 20:02





Contexte

Nous te souhaitons la bienvenue, invité, nouveau membre, ou même très vieux membres, à faire partie de cette magnifique aventure avec nous. Pour être bien informé, il te suffit de lire les lignes suivantes et tu sauras tout (oupas) sur le pensionnat du dernier souffle.

RèglementFAQPartenariat


Contact


Directeur Adjoint
MPPNJ


c'est bizarre ce qui se passe, n'est-ce pas ?!
Il fût un temps, dans les années 1900, où la commercialisation de New-York n'était pas celle que nous connaissons aujourd'hui. Dans ces mêmes années, le peuple grandissant était lui aussi différent. Les humains se débrouillaient avec ce qu'ils avaient et n'en demandaient jamais plus, ils priaient, ils chérissaient la nourriture qui se trouvait devant eux et surtout ils appréciaient le moment présent. L'histoire de notre pensionnat, qui n'était pas non plus le même à l'époque, commença dans ces années-là, alors que le peuple devenait plus que gourmands. Au cours de la première moitié du XXe siècle, la ville devint un centre d'envergure internationale avec ces trains et son nouveau métro. À travers cette expansion, un homme droit et fier père de famille tient toujours les rênes d'une main de fer afin d'éloigner sa famille de ce qu'il considérait comme le Diable. Il n'avait pas totalement tord de le faire lorsque l'on regarde les générations de mal-élevés qui grandissent dans nos rues aujourd'hui.

Les nouveaux vagabonds continuaient de se multiplier, les parents ayant peurs que leur progéniture ne devienne des pourritures supplièrent M. Johnson de prendre en charge leurs enfants turbulents pour les remettre sur le droit chemin. Il ne refusa pas. Ainsi, l'homme et sa famille accueillirent des dizaines d'enfants ou de jeunes adultes par années sur des périodes différentes afin de les aider dans leur quête consistant à retrouver la route vers Dieu. Arthur Johnson se créa rapidement une bonne réputation dans la communauté new-yorkaise comme dompteur d'enfants, terme un peu cruel en voulant parler d'être humains, mais on ne contrôle pas les « dires » de la population générale. Plusieurs années s'écoulèrent, M. Johnson continua son œuvre en proclamant qu'il était un messager de Dieu servant à rétablir l'ordre dès la jeunesse, brisant ainsi plusieurs esprits au passage. Ensuite, il décida que s'en était assez de faire vivre tout ce cirque à sa famille - notant au passage que ses propres enfants commençaient à changer, à devenir arrogants et méchants - alors il fit l'acquisition d'un bâtiment de taille moyenne qu'il rénova entièrement de ses mains. Il se fit aider de plusieurs menuisiers de la ville, de certains adolescents qu'il avait aidé par le passé qui souhaitait le remercier de ce qu'il avait fait pour eux. Il créa ainsi la première ébauche de l'académie du dernier souffle. Le nom avait été crée par ces jeunes qui lui devaient tant, ils disaient justement qu'Arthur leur avait sauvé la vie, d'où ce nom peu rigolo pour un « pensionnat ».

L'histoire se continua ainsi durant plusieurs années, les enfants des pères grandirent et prirent cette « entreprise » en main. Ensuite, il y eut la seconde guerre mondiale qui bloqua les activités du Dernier Souffle. L'homme qui s'occupait, à ce moment, de l'endroit le déserta en préférant s'occuper de sa petite famille qui avait subi de grandes pertes. Le bâtiment tomba en ruine, servant de refuge aux sans-abris, aux jeunes adolescents en manque de sensations fortes. L'endroit ayant l'air hanté attirait beaucoup les regards, la construction tenait encore debout, mais elle était en plein cette d'une forêt assez dense, le chemin menant vers celle-ci avait été condamné et maintenant de mauvaises herbes camouflait même les anciennes tracent de route.

Charles Johnson entra dans l'histoire, de cela déjà vingt-quatre longues années, alors qu'il décidait de rebâtir les espoirs de son défunt ancêtre. Il décida même de faire construire le nouvel édifice exactement au même endroit qu'il était situé, des dizaines d'années auparavant. Ainsi, le jeune homme d'à peine trente ans fit démolir le vieux bâtiment qu'il n'aurait - en aucun cas - pût suffisamment retaper pour le rendre vivable aux futurs étudiants qui entreraient dans ces lieux. Un nouvel édifice remplaça l'ancienne, il réconcilia ses principes à ceux de son ancêtre Arthur, afin de créer l'environnement qu'il avait jadis imaginé (et noté dans la plupart de ses cahiers de suivis).

Aujourd'hui, l'institue du Dernier Souffle à reprit vie. Des centaines d'étudiants font leur entrée à chaque année afin d'amorcer un nouveau cycle scolaire au sein de cet établissement sain. Aucune technologie n'est tolérée dans l'enceinte, personne n'a de téléviseur, ni de portable avec internet. Ainsi, les adolescents apprennent ce qu'était la vie avant cette pourriture d'internet, avant ce manque de communication ; et on peut dire que cela à porter fruits. La majorité des familles ayant envoyés un premier enfant au pensionnat envoient leurs progénitures, d'années en années et répète même l'expérience avec leurs autres enfants qui font leur entrer dans ce merveilleux monde à leur tour.


© Halloween






Dernière édition par Directeur Adjoint le Dim 31 Aoû - 16:15, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas

A - CONTEXTE

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Dernier Souffle :: QUELQUES TRUCS À SAVOIR :: ADMINISTRATION-